« Ma femme Ingalill et moi avions une vie heureuse. L'agriculture nous passionnait comme métier, même si parfois Ingalill disait : « Je pense que quelque chose nous manque, mais je ne sais pas quoi ? »
En 1960, nous avons été invités à la conférence d’hiver à Caux en Suisse. Ingalill a dit : « Peut-être trouverons-nous là-bas ce qui nous manque ».
Nous y avons découvert l'objectif de reconstruire le monde et nous avons été frappés par l'honnêteté des gens quand ils partageaient leurs expériences de vie.